Martin Kohlstedt compte parmi les compositeurs, pianistes et producteurs de musique instrumentale et électronica les plus brillants. Ses albums précédents Tag, Nacht, Strom, Ströme et Flur, ainsi que les disques dans lesquels il les revisite et retravaille, ont obtenu une reconnaissance internationale et déclenché des tournées à travers le monde entier.
Kohlstedt parvient intuitivement à donner forme commune à des influences provenant d’univers très différents et de forger, à partir de ce matériau hétéroclite, un corps homogène et vivant.
En plus de ses propres morceaux, Kohlstedt écrit des bandes sonores pour des films, des pièces de théâtre, des podcasts et des pièces radiophoniques. Avec l’Edition Kohlstedt, il dirige son propre label et essaie de prendre ses responsabilités d’artiste avec un projet de reforestation.
Il revenait fin octobre avec un nouveau single, LUV, suivi de MOD, premiers titres de son album Feld à paraître en mars prochain.
Ce 20 janvier on découvrait VIM, nouvel extrait de cet album à venir. VIM est un film dont l’histoire est immersive et captivante. Nulle part dans le nouvel album de Martin Kohlstedt l’esthétique et le flux ne deviennent aussi mélodiques et profonds que dans VIM, un morceau que Kohlstedt décrit comme le « noyau sûr » de l’album. Le morceau est un doux duo entre le synthétiseur et le piano, l’électronique et les instruments organiques s’entremêlant en harmonie pour former un seul corps flottant. Un morceau fait de lumière, gracieux et libre, qui danse sans effort.