Guillaume Léglise sort son premier album Auto Fictions le 14 mars 2023 sur le label La Tebwa, avec en premier extrait Les Dunes avec Cléa Vincent.
Avec lui, la chanson française est baignée d’influences pop 80’s et new wave. La sortie de l’album Auto Fictions marque pour ce producteur, compositeur et multi-instrumentiste l’aboutissement d’un travail d’écriture et production long de 4 ans (depuis l’EP Riviera). Depuis de nombreuses années, Guillaume Léglise s’est fait un nom dans le paysage de la pop française, à la réalisation, production ou mixage de plusieurs projets d’artistes. Ce musicien de l’ombre se dévoile enfin à travers un premier album lettré et ambitieux, aux contours atypiques.
Pour mettre en image Auto Fictions, Guillaume Léglise a imaginé une vidéo nous emmenant dans une course poursuite amoureuse de six épisodes au cœur de Madrid. L’album se dévoile dans un road movie sensuel et haletant type « catch me if you can » réalisé par Jérôme Walter Gueguen. Voici une translation cinématographique qui nous laisse libre de toutes interprétations pour mieux apprécier encore cet album de fictions. A découvrir avec en premier extrait Les Dunes en duo avec Cléa Vincent.
« Une certaine idée de la variété à la française, convoquant ainsi un phrasé dandy, posé sur une composition synthétique, le tout porté par une basse obsédante » Les Inrockuptibles
Producteur, réalisateur, mixeur, remixeur notamment pour des artistes des labels Pan European Recording, Her Majesty’s Ship, Kwaidan, Icy Cold Records, La Tebwa, musicien muti-instrumentiste (au sein du groupe Vox Low), compositeur pour le théâtre (Philippe Calvario, Nicolas Kerszenbaum, Pauline Ribat) ou la danse contemporaine (Marjory Duprès, Aude Lachaise), Guillaume Léglise se réinvente au gré de ses multiples collaborations en entité pop singulière, au carrefour de toutes ses expériences, comme un prolongement, ou une synthèse, de ses multiples visages.
Son premier véritable album Auto Fictions paraît le 14 mars 2023 chez le label La Tebwa. Sur scène il est accompagné depuis deux ans à la basse et aux chœurs par Clémence Lasme qu’on a pu notamment voir sur scène accompagnant Pomme, Moodoïd… Seul maître à bord de son studio de Belleville, il compose une galerie de portraits, qu’il dévoile peu à peu en EPs aussi sensuels que conceptuels, mariant la musique de club aux mélodies limpides des dandys pop français (Serge Gainsbourg, Alain Chamfort, Philippe Chany), le français lettré à l’ivresse du noctambule, la poésie décadente à la langueur d’une after.
Ses chansons déploient ainsi une riche galerie de personnages, décors, situations, chaque chanson apparaissant comme le nouveau chapitre d’un recueil d’histoires, derrière lesquelles opère le producteur. Sur EP1, il mariait les corps désirants à la matière inanimée. Entre le Crash de Ballard et la magie noire des trottoirs parisiens, ses cinq premières aventures dessinaient, à travers cinq portraits de femmes, celui d’un narrateur quêtant l’amour, aussi baladeur que baladé, dans une ambiance gris-métal.
Après un EP qui convoquait d’éphémères rencontres amoureuses dans la torpeur urbaine des années 1980 (celles de la new-wave, du Palace et des films noirs de Pialat), Guillaume Léglise est revenu avec Riviera, un EP estival, distillant une moite langueur synthétique, comme une idylle entre la tentation Ibiza de New Order (la basse Peter Hook de Riviera) et l’English Riviera de Metronomy (lustre de la production, dissonances de l’étrangeté), à mi-chemin entre froideur des machines et profondeur des émotions. Voici enfin que s’annoncent ses Auto Fictions, un premier album accompagné d’un road movie de six vidéos à découvrir sur Youtube et en invités, Cléa Vincent et Lisa Li Lund.
Son premier véritable album Auto Fictions paraît le 14 mars 2023 chez le label La Tebwa. Sur scène il est accompagné depuis deux ans à la basse et aux chœurs par Clémence Lasme qu’on a pu notamment voir sur scène accompagnant Pomme, Moodoïd… Seul maître à bord de son studio de Belleville, il compose une galerie de portraits, qu’il dévoile peu à peu en EPs aussi sensuels que conceptuels, mariant la musique de club aux mélodies limpides des dandys pop français (Serge Gainsbourg, Alain Chamfort, Philippe Chany), le français lettré à l’ivresse du noctambule, la poésie décadente à la langueur d’une after.
Ses chansons déploient ainsi une riche galerie de personnages, décors, situations, chaque chanson apparaissant comme le nouveau chapitre d’un recueil d’histoires, derrière lesquelles opère le producteur. Sur EP1, il mariait les corps désirants à la matière inanimée. Entre le Crash de Ballard et la magie noire des trottoirs parisiens, ses cinq premières aventures dessinaient, à travers cinq portraits de femmes, celui d’un narrateur quêtant l’amour, aussi baladeur que baladé, dans une ambiance gris-métal.
Après un EP qui convoquait d’éphémères rencontres amoureuses dans la torpeur urbaine des années 1980 (celles de la new-wave, du Palace et des films noirs de Pialat), Guillaume Léglise est revenu avec Riviera, un EP estival, distillant une moite langueur synthétique, comme une idylle entre la tentation Ibiza de New Order (la basse Peter Hook de Riviera) et l’English Riviera de Metronomy (lustre de la production, dissonances de l’étrangeté), à mi-chemin entre froideur des machines et profondeur des émotions. Voici enfin que s’annoncent ses Auto Fictions, un premier album accompagné d’un road movie de six vidéos à découvrir sur Youtube et en invités, Cléa Vincent et Lisa Li Lund.
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