George FitzGerald dévoilera le 2 septembre ‘Stellar Drifting’, son troisième album empreint d’émerveillement et d’émotion, de mélodies scintillantes et électroniques. Véritable tour de force, l’album s’impose comme l’une des grandes œuvres de musique électronique atmosphérique de notre époque, avec les pieds sur le dancefloor mais le cœur à 1000km au-dessus de la terre. Avec son nouveau single “Cold”, George FitzGerald ouvre le chapitre de son œuvre la plus grandiose et conceptuelle. Découvrez “Cold” ci-dessous :
Répondant au besoin de se confronter à son monde intérieur et d’échapper aux restrictions, Stellar Drifting est l’interprétation sonore de la liberté totale selon FitzGerald. Afin d’explorer la vie sans notion de frontière, FitzGerald s’est tourné vers l’espace pour trouver l’inspiration, rassemblant alors les fondations de l’album à partir d’images et de sons de sondes spatiales. Cette approche hautement conceptuelle n’a pas terni pour autant l’écriture de FitzGerald, en témoigne son récent single “Ultraviolet”, premier aperçu de l’énergie de l’album. Le disque comprend également de brillantes collaborations : Panda Bear, figure de proue d’Animal Collective, qui ajoute une touche poétique à « Passed Tense », London Grammar, renvoie l’ascenseur à FitzGerald sur « The Last Transmission », après qu’il ait travaillé sur son album ‘Californian Soil’ classé #1 au Royaume-Uni et SOAK, nommé au Mercury Irlande, qui chante sur « Rainbows and Dreams ». C’est pourtant avec « Cold » que FitzGerald dévoile son titre le plus accessible à ce jour.
Figure incontournable de la musique électronique actuelle, George FitzGerald s’illustre parmi la scène undergound et aussi grand public. Il était à la pointe de la scène UK lorsqu’il travaillait à l’emblématique Black Market Records à Londres, puis a passé 10 ans à Berlin, publiant ses titres sur des labels renommés comme Aus et Hotflush Recordings, avant de signer chez Domino et de devenir pleinement un producteur et compositeur d’album. Deux disques salués par la critique ont suivi, Fading Love en 2015 et All That Must Be en 2018, avec les collaborations de Bonobo ou Tracey Thorn, élevant ses compositions à des productions plus atmosphériques et mondialement reconnues.
Tracklisting
1. Further and Further
2. Passed Tense feat. Panda Bear
3. Rainbows and Dreams feat. SOAK
4. Cold
5. Setting Sun
6. Cosmonaut Alley
7. Retina Flash
8. Betelgeuse
9. The Last Transmission feat. London Grammar
10. Ultraviolet
Stellar Drifting (DS142) sera disponible en CD, vinyle standard, vinyle deluxe limité (vinyle transparent) et vinyle deluxe limité Dom Mart (vinyle transparent avec un 12” bonus comprend un titre inédit “Venera” sur la face A et 16 sillions sans fin. Pré-commandez votre copie ici.
La pochette de Stellar Drifting a été créé et réalisée par le graphiste David Rudnick en collaboration avec le développeur digital Chris Shier.
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George FitzGerald Online