Découvrez « Dreamers Faux Rêveurs (feat. Daguerre) », le clip de Herenger

Auteur-compositeur-interprète, Pierre Herenger a longtemps vécu en Californie, disciple du compositeur français Maurice Jarre qui va l’accompagner à ses débuts. L’auteur du thème mythique de Lawrence d’Arabie deviendra son mentor.
Élève de la prestigieuse Musican’s Institute d’Hollywood, ses tournées outre-Atlantique vont l’amener à partager la scène avec de nombreux artistes internationaux comme Beck, Mickael Penn, Aimee Mann, The Eels…
De retour en France depuis une dizaine d’année et après plusieurs collaboration avec des artistes aquitains reconnus (Guillo, Mamac…), il décide de créer son projet solo : « Dreamer Faux Rêveur ». Pour ce projet, Pierre Herenger,  qui en est l’auteur-compositeur-interprète, s’est allié à l’auteure Marie Barsi pour créer une oeuvre transversale, à la croisée de la musique, du théâtre et des arts graphiques. Les illustrations réalisées par Ludovic Bouillé, qui a également collaboré au projet des Hurlements de Léo en 2019, serviront, grâce à la magie du «mapping», de décor lumineux à un concert illustré à partir de fin 2020.

https://www.youtube.com/watch?v=ZXlxHKSriJc&feature=youtu.be

De l’enfance à la bohème fantasmée, à la vie à la scène, quelques photos d’Amérique scotchée sur le mur du couloir, les rêveurs ont toujours pour eux de pouvoir suspendre le temps à la recherche des sourires et de la liberté qu’ils donnent.
Comme tous les dreamers, Herenger et Daguerre ont connu les doutes, les peurs, ont noyé l’ennui dans les verres de partage, peut-être même ont pu prendre le large le temps d’un instant suspendu, mais ont réussi à ne jamais grandir, mettant quelques notes rock sur leur chanson d’amitié, imaginant quelques mélodies pour décrocher la gloire sur des accords mineurs.
Comme tous les dreamers, Herenger et Daguerre ont voyagé, se sont mis à nu sous les lunes qui dansent, se sont suspendus à des lignes de chance et se sont projetés sur ces scènes où enfin ils pourraient essaimer leurs rêves, vrais ou faux, pour se jouer du temps qui passe et combler leurs désirs de bohème, de vies que l’on a beau aimer sans toujours trouver les mots pour l’exprimer.
Alors, à trop sauter ils se sont envolés et, jamais vraiment sortis de l’enfance, sont et resteront des dreamers faux rêveurs…

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