https://www.youtube.com/watch?v=ZXlxHKSriJc&feature=youtu.be
De l’enfance à la bohème fantasmée, à la vie à la scène, quelques photos d’Amérique scotchée sur le mur du couloir, les rêveurs ont toujours pour eux de pouvoir suspendre le temps à la recherche des sourires et de la liberté qu’ils donnent.
Comme tous les dreamers, Herenger et Daguerre ont connu les doutes, les peurs, ont noyé l’ennui dans les verres de partage, peut-être même ont pu prendre le large le temps d’un instant suspendu, mais ont réussi à ne jamais grandir, mettant quelques notes rock sur leur chanson d’amitié, imaginant quelques mélodies pour décrocher la gloire sur des accords mineurs.
Comme tous les dreamers, Herenger et Daguerre ont voyagé, se sont mis à nu sous les lunes qui dansent, se sont suspendus à des lignes de chance et se sont projetés sur ces scènes où enfin ils pourraient essaimer leurs rêves, vrais ou faux, pour se jouer du temps qui passe et combler leurs désirs de bohème, de vies que l’on a beau aimer sans toujours trouver les mots pour l’exprimer.
Alors, à trop sauter ils se sont envolés et, jamais vraiment sortis de l’enfance, sont et resteront des dreamers faux rêveurs…