Le trio londonien PVA signe avec Big Dada (Ninja Tune)

PREMIER EP « TONER »
LE 20 NOVEMBRE

DÉCOUVREZ LE PREMIER EXTRAIT « TALKS »

Les disco-punks londoniens de PVA annoncent aujourd’hui leur signature avec le label prescripteur de Ninja Tune, Big Dada (Young Fathers, Kae Tempest, Roots Manuva…)
Pour les fans de Talking Heads, LCD Soundsystem…

« They’re proving that darkness can also make you dance. » NME
« it’s all designed to get people sweaty and moving, and sounds thrillingly fresh » The Evening Standard
« those coy kids in the corner are moving increasingly front and centre with their startling, fresh take on dance-punk » DIY

Ella, Josh et Louis déclarent à propos de leur décision:
“Nous n’en revenons pas de rejoindre la famille Ninja. Le catalogue de ce label est incroyable et inclut quelques uns de nos albums favoris. Nous sommes très heureux d’en faire à présent partie »

Le groupe sort également un nouveau titre « Talks » qui marque la suite très attendue de leur premier single « Divine Intervention » qui s’était vu playlisté sur 6 Music et a été soutenu par la presse internationale et repéré par un excitant « God It’s Good » de la part de The Guardian.

DÉCOUVREZ « TALKS »

« Talks » est le premier extrait énergique et insistant de ce premier EP Toner qui sortira le 20 novembre en digital et en vinyle (précommandez ici) sur Big Dada.
L’infatiguable Dan Carey (black midi, Bat For Lashes, Fontaines D.C.) s’est à nouveau attelé à la production.

En plus des 3 nouveaux titres – « Talks », « Sleek Form », « Exhaust / Surroundings » – cet EP contient également des remixes de Mura Masa, un des premiers fans du trio, de Lynks et de Daniel Fox (Girl Band).
Josh Baxter, multi-instrumentiste et chanteur, évoque à propos du single:
« Talks parle de la manière dont on invente des jeux afin d’éviter d’exprimer ses vrais sentiments ou de prendre le risque d’être blessé. La chanson prend son inspiration dans de vraies relations et dans celle, fictionnelle, entre John et Abigail Marston (les deux protagonistes dans le jeu video Red Dead Redemption) ».

PVA fut formé lors d’une fête en 2018 et le trio a depuis gagné la méchante réputation d’être l’une des formations live les plus redoutables de la capitale anglaise, rassemblant un soutien inébranlable du public avant même d’entrer en studio.
Depuis leur formation, les performances live de PVA – full band ou en DJ set – ont été le point fort du groupe. Ces deux dernières années, nous avons pu voir le trio transformer The Windmill à Brixton comme leur seconde maison alors qu’ils jouaient régulièrement au Five Bells et au Bunker à Deptford, les définissant comme une part importante de la scène locale dès le début de leur très jeune carrière.

En ces temps incertains pour la musique live, les prouesses du groupe en studio viennent jubilatoirement au premier plan. Le groupe fusionne miasmes industriels, new wave, post-punk et une démarche pop assurée dans un caustique cocktail multi-genre, qui leur a valu de gagner des fans à travers le pays, comptant parmi eux Squid, HMLTD, Dry Cleaning et The Orielles.
« Toner » n’est que le premier EP de PVA mais il grouille d’excitation. Pas une seule minute il ne se pose, passant d’idée en idée avec une facilité instinctive, faisant lumière sur une large palette de sons et d’influences. Notamment, sur le remix de Mura Masa, la phrase imperceptible de Harris « The best is yet to come » est sans cesse répétée en premier plan. Peut-être, comme pour se souvenir que malgré l’incroyable chaos évident de « Toner », qu’il s’agit simplement du premier chapitre d’un livre que nous relirons pour les années à venir.

PVA are:
Ella Harris – Vocals, Guitars, Synth
Josh Baxter – Vocals, Guitars, Synth
Louis Satchell – Vocals, Drums, Sampler